
La demande en développeurs ne va pas baisser
On lit partout que l’IA va remplacer les développeurs. Que les outils comme Copilot ou ChatGPT vont faire le boulot tout seuls. Que la formation au développement n’aurait plus d’avenir. Pourtant, la réalité est bien différente. Non seulement le besoin en ingénieurs logiciels ne diminue pas, mais il est en train de croître à grande vitesse.
Voici pourquoi le métier de développeur a encore (et surtout) de très beaux jours devant lui.

L’IA n’élimine pas le besoin. Elle le transforme.
À chaque nouvelle vague technologique, on entend le même refrain : “cette fois, les développeurs ne seront plus nécessaires.” Ce fut le cas à l’arrivée des compilateurs, des frameworks, des environnements de développement visuel. Résultat ? Jamais le nombre de développeurs n’a cessé d’augmenter. Pourquoi ? Parce que plus les outils deviennent puissants, plus les systèmes deviennent complexes, et plus il faut des humains pour concevoir, orchestrer, maintenir.
Plus de puissance = plus de possibilités = plus de code
Chaque innovation majeure dans la tech — du PC à l’iPhone, du cloud à l’IA — ouvre de nouveaux cas d’usage. De nouvelles idées. De nouvelles interfaces. De nouveaux besoins utilisateurs. À chaque fois, il faut des développeurs pour les implémenter. L’IA permet de coder plus vite, mais elle ne fait pas disparaître la demande. Elle l’augmente. Car plus on produit vite, plus le rythme d’innovation s’accélère.
Le métier monte en abstraction, pas en désuétude
L’IA prend en charge certaines tâches de bas niveau : génération de code standard, complétion de fonctions, documentation automatique. Très bien. Mais cela ne remplace pas la réflexion, l’architecture, l’anticipation des impacts, la logique métier. Les développeurs montent en responsabilité. Ils passent moins de temps à écrire du boilerplate, et plus de temps à construire des systèmes robustes. Le besoin change, mais il ne disparaît pas.
La demande explose côté business
Les entreprises de tous secteurs cherchent à automatiser. À mieux gérer leurs données. À construire des outils sur mesure. À créer des applications internes, des solutions SaaS, des plateformes métiers. Résultat : la demande de développeurs dépasse encore aujourd’hui l’offre. Et ça ne ralentit pas. Car même avec l’aide de l’IA, il faut encore des cerveaux pour construire l’automatisation elle-même.
Le paradoxe de la productivité
On croit souvent que plus un développeur est productif, moins il faut de développeurs. C’est faux. L’histoire montre l’inverse. À chaque fois que la productivité individuelle augmente, les entreprises accélèrent leur cadence de livraison. Le nombre de produits à maintenir, faire évoluer, déployer, supporte cette croissance. En clair : on ne remplace pas des développeurs, on les rend plus utiles.
Le futur du dev est stratégique
Les développeurs de demain seront encore plus précieux que ceux d’aujourd’hui. Ils piloteront des architectures distribuées complexes. Ils intégreront des briques IA, des microservices, de la data. Ils sécuriseront des flux critiques. Ils créeront des systèmes qu’aucune IA seule ne pourra maintenir de façon fiable. Le futur du code est intelligent, distribué, éthique… et il a besoin d’experts humains pour tenir le volant.
Et chez Goolive ?
Chez Goolive, nous intégrons les outils IA dans nos process. Mais nos développeurs sont et resteront au cœur de la valeur. Pourquoi ?
Parce que nos clients ont besoin d’équipes capables de prendre du recul, de concevoir, de livrer proprement, et surtout : de tenir la route sur le long terme. IA ou non, les bons développeurs restent la clé.
Vous avez un projet à faire grandir intelligemment ?